IMPRESSIONS
IMPRESSIONS suite à la pratique régulière de Dun Qiang Gong « s’accroupir face au mur » depuis plus d’un an.
Le 7 septembre 2018 : proposition faite en cours de qi qong de faire l’exercice «Dun Qiang Gong » sans mur 3 fois 36 mouvements et cela 2 fois par semaine, mardi et vendredi.
Le 7 octobre : j’ai pris la décision de le faire tous les jours, chez moi, devant un mur. L’espace avec le mur est de 7,5 cm et j’ai fait l’exercice 17 fois.
Le 9 octobre : j’ai fait l’exercice 50 fois et j’ai ressenti que je montais plus facilement les marches dans mon jardin.
Le 10 octobre : je l’ai fait 60 fois et ma tension dans le bas du dos a disparu.
Le 15 octobre, à présent je le fais 100 fois. Ce chiffre 100 est important car je commence à me relâcher au bout du 85 ème mouvement. Cet exercice me permet de prendre conscience de mes tensions de la vie quotidienne et de les corriger.
Le 21 octobre, je suis toujours étonnée de ne plus avoir ma tension dans le bas du dos. Parfois je la cherche.
Le 29 octobre : analyse très importante. Quand j’avais ma tension, je faisais avec. L’exercice permet de conscientiser des tensions que l’habitude permet d’ignorer. C’est comme le bruit d’un ordinateur, vous l’entendez lorsqu’il est éteint. Sinon vous faites avec…
Le 3 novembre : J’ai ressenti que l’on pouvait soigner des maladies psychologiques en travaillant sur le corps. Aide pour mettre de la légèreté à une situation lourde en apparence.
Le 5 novembre : encore le mot légèreté qui revient et esprit clair.
Le 6 novembre : sensation d’un corps physique rajeuni. Sensation d’une colonne vertébrale très souple telle une branche d’osier. Sensation que le système d’évacuation fonctionne mieux.
Le 13 novembre : l’espace avec le mur est à présent de 6,8 cm. J’ai des ressentis différents : le ventre qui se coince et le dos qui se tend.
Le 21 février 2019 : l’espace avec le mur est de 5 cm. J’ai ressenti des tensions. Je faisais attention car je sentais qu’il se passait quelque chose d’important. Le lendemain je me suis réveillée avec la sensation qu’il s’était passé quelque chose dans la nuit. Le très bas du dos était plus souple mais surtout l’énergie circulait mieux jusqu’au cerveau. J’étais créatrice de mots et d’idées, une grande jouissance.
Important : ne pas s’arrêter même lorsqu’on a l’impression qu’il ne se passe rien, car en fait c’est le temps de l’adaptation. Ne pas douter de la puissance de cet exercice. Parfois le doute peut venir de la sensation d’une douleur qui apparait étrangement, alors continuer dans la douceur, avec la conscience que c’est tout simplement une phase transitoire.
4 avril : Cet exercice est très puissant car on ne peut pas tricher, on ne peut pas le manipuler ni même intervenir. Il faut faire pour faire, c’est tout. On ne peut pas résister.
7 avril : Je compare l’exercice à un pulvérisateur, pour qu’il fonctionne il faut l’activer par des mouvements de haut en bas. Il met en mouvement l’interne et permet de « sortir » des idées.
10 avril : ON NE PEUT PAS RESISTER à la transformation, à l’évolution
16 avril : sensation que le corps s’allège. Impression de rire plus facilement.
25 avril : encore une sensation que le corps s’allège, corps moins lourd.
26 avril : mon corps est allégé mais ma tête très encombrée. Cette prise de conscience m’incite donc à vouloir alléger ma tête comme je l’ai fait pour le corps.
29 juillet : exercice extraordinaire pour prévenir les problèmes de dos.
17 septembre : sensation d’avoir un corps en excellente santé. Aucun problème de dos malgré les travaux de terrassement. Comme une sorte de rajeunissement de ma structure osseuse.
12 octobre : A présent, cet exercice je l’appelle le MEDICAMENT. J’ai l’impression qu’en remettant tout en place, sa place, cela peut TOUT SOIGNER. La maladie c’est juste un déséquilibre. Cet exercice rééquilibre.
9 novembre : C’est le mot FLUIDITE qui me vient. Ce mouvement fluidifie le physique, le psychologique, le relationnel. C’est très puissant. Sensation que tout est bien placé donc tout se passe bien.
24 novembre : je suis à présent à 3 cm du mur. Sensation d’un moment « charnière » pour passer à un autre niveau.
20 décembre : C’est le mot ELEVATION qui me vient ainsi que le mot DETACHEMENT. Comme une plus grande facilité à me détacher des évènements « négatifs ».
21 décembre : J’ai la sensation d’un poing qui me pousse en avant ou plutôt vers l’extérieur et qui se trouve entre les omoplates. Sensation aussi d’avoir un manche à balai dans le dos qui m’oblige à sortir la poitrine.
22 décembre : Ce ressenti physique d’un poing dans le haut du dos m’entraine vers le mot LIBERATION, comme si quelque chose de l’intérieur souhaitait enfin sortir.
SYLVIE